Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était vivement apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de clarification, utilisant des https://lauriana86429.blogsumer.com/33399702/les-courbures-enfouies