À bordeaux, dans un futur proche saturé de réseaux incorporels et de données ambiantes, une gerbe étrange s’était mise à bien tomber chaque nuit. Elle n’avait ni émotion, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de lettres, dessinés par condensation digitalisation, comme par exemple https://judahkvade.blog2freedom.com/34221290/la-pluie-des-prénoms